Dispense pour le travail des étudiants pour soutenir l’enseignement, le secteur des soins et l’industrie alimentaire

Pendant le pic de l’épidémie, notamment durant le quatrième trimestre de 2020, la crise du coronavirus a exercé une forte pression sur divers secteurs, en particulier le secteur des soins de santé surchargé, mais aussi le secteur de l’enseignement et l’industrie alimentaire. Afin d’aider ces secteurs à faire face aux pics dans la charge de travail, les étudiants ont été autorisés à travailler dans ces secteurs sans que leurs heures soient déduites de leur contingent annuel de 475 heures soumis à un taux de cotisations sociales réduit. Ils ont ainsi immédiatement pu assister le personnel surchargé et lui apporter du renfort, même si leur contingent avait déjà été épuisé pour le reste de l’année. Cette mesure s’appliquait également aux bureaux d’intérim, qui pouvaient déployer un étudiant chez un employeur des secteurs concernés. Les applications ONSS de déclaration (Dimona/DmfA) et de consultation (Student@Work) ont été adaptées afin de tenir compte de ce changement.